Shatavari Himalaya Herbals

Shatavari Himalaya Herbals

La shatavari fait partie des plantes médicinales ayurvédiques depuis la nuit des temps, elle est classée dans leur pharmacopée traditionnelle comme étant une plante pour les femmes, puisqu’elle agit sur la fécondité et le syndrome prémenstruel. La shatavari est aussi un traitement des bronchites et de la tuberculose, elle agit en soignant la dyspepsie et la constipation, tout en calmant les spasmes gastriques.

La shatavari est une plante médicinale de l’ayurveda, elle connaît des propriétés thérapeutiques antispasmodiques et diurétiques, adoucissantes et digestives, galactagogues et sédatives ainsi que tonique.

Considérée depuis la nuit des temps comme étant une plante pour les femmes, elle les aide dans les troubles de l’infertilité en tonifiant l’utérus, elle apaise le syndrome prémenstruel et freine les saignements utérins.

La shatavari aurait un effet calmant sur deux systèmes, respiratoires et digestifs.

Cette plante soulage et traite la constipation et la dyspepsie, ainsi que les douleurs des spasmes de l’estomac, elle a une action sur la rétention d’eau, elle agit sur les maladies telles que la bronchite et la tuberculose.

Ce sont les racines qui renferment les principes actifs du shatavari qui comprennent des glycosides et des saponines, des isoflavones et du mucilage.

La shatavari est une plante médicinale impliquée dans la médecine traditionnelle ayurvédique, mais aussi Unani et Siddha et plus tard dans la médecine traditionnelle anglaise.

Elle est utilisée pour ses vertus thérapeutiques antispasmodiques, adoucissantes et digestives, mais aussi diurétiques et galactagogues, de même qu’il est dit qu’elle aurait eu un effet aphrodisiaque.

Elle est principalement donnée comme étant une plante pour les femmes, les aidant dans les troubles de l’infertilité et la santé, on la surnomme d’ailleurs le ginseng pour les femmes, elle est un tonique utérin, efficace pour améliorer le lait maternel.

Cette plante prévient et soigne les ulcères gastriques et soulage des mauvaises digestions, traite les dyspepsies.

Elle est bénéfique pour l’amélioration du système immunitaire et aurait une incidence efficace sur les maladies associées à des troubles neurologiques.

Il était coutume de la prendre sous infusion ou teinture et sa racine due à un goût amer était généralement confite ou proposer sous forme de conserve afin qu’elle soit plus sucrée.

La shatavari est une plante herbacée de type grimpante qui peut facilement mesurer d’un à deux mètres de hauteur, elle fait partie de la famille des asparagacées.

Elle présente de nombreuses racines adventives et tubéreuses qui peuvent mesurer un mètre de longueur, son feuillage ressemble à des aiguilles de pin très brillantes et d’un joli vert.

Son inflorescence est hérissée sur la tige avec des toutes petites fleurs blanches visibles en juillet et donnant un fruit en septembre en forme de baie globulaire de teinte pourpre à noire.

La shatavari est originaire de l’Inde, on la trouve également au Népal et au Sri Lanka ainsi que dans l’Himalaya, elle affectionne les sols rocheux et peut parfaitement s’épanouir dans les hauteurs allant de 1300 à 1400 mètres d’altitude.
Il est recommandé de prendre avis auprès d’un spécialiste (pharmacien, médecin) avant tout usage de cette plante durant la grossesse ou l’allaitement.
Antispasmodiques, diurétiques, adoucissantes, digestives, galactagogues, sédatives, tonique, infertilité, tonique utérus, syndrome prémenstruel, saignements utérins, troubles respiratoires, trouble digestif, constipation, dyspepsie, spasmes de l’estomac, rétention d’eau, bronchite, tuberculose.

Le nom de cette plante la shatavari est sanskrit, il a pour traduction une femme qui a une centaine de maris.

La shatavari est classée dans les espèces en danger d’extinction, due à de nombreuses raisons, comme la déforestation, la demande qui ne cesse d’augmenter, elle est de moins en moins présente à l’état sauvage.

Bien qu’elle appartienne à la famille des asperges, elle n’est que peu consommée en tant que légume, mais dans certaines zones, on l’ingère comme une asperge.